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LES VILLAGES

 
     
 
A la fois coeur économique et mémoire du temps, les villages de l'espace Pinatelle - Haute Santoire ont su se faire discrets pour s'intégrer dans l'harmonie naturelle des paysages.

Tous portent les traces d'une histoire chargée de souvenirs, véritable reflet d'une histoire de France en miniature, avec ses civilisations, ses faits d'armes, ses déboires et ses jours radieux.

Tous racontent également leur relation primordiale à la terre, tant leur existence est liée à l'élevage, d'abord, à l'agriculture, ensuite. Toute leur organisation, leurs oeuvres d'art et leurs parfums en témoignent.

 
Et puis aussi, ces villages savent accueillir...
Et c'est en cela qu'ils sont tournés vers l'avenir : si le tourisme peut parfois faire vivre ou revivre une région, ce sont avant tout les acteurs locaux qui font vivre le tourisme.
Photo

Vers Chavagnac...

 
Et qui, mieux que ces villages, peut donc animer ces Grands Espaces, le temps d'un séjour, le temps d'un week-end ?...
 
     
     
 

Découvrez deux villages "coups de coeur"

 
   
  clipart soleilChalinargues Aux portes de la Pinatelle  
     
  clipart soleilDienne Au coeur de la Haute Santoire  
     
 

Découvrez ci-dessous les autres villages du territoire Pinatelle - Haute Santoire

LAVIGERIE

CHASTEL-SUR-MURAT

VIRARGUES

CHAVAGNAC

et leurs deux portes d'accès :

ALLANCHE

MURAT

 
     
 

 
     
 
 

LAVIGERIE

 
     
     
 

 
     
 

CHASTEL – SUR – MURAT

 
     
     
 

 
     
 

VIRARGUES

 
     
     
 

 
     
 

CHAVAGNAC

 
     
     
 

 
     
 

ALLANCHE

Allanche, petite ville qui dépendait de l’ancien duché de Mercoeur, est assise au pied des montagnes de Luguet, dans un vallon nu, sur le bord d’une rivière. L’étymologie de son nom lui viendrait soit d’Albantia, à cause du blanc manteau de neige qui la couvrait autrefois une grande partie de l’année, soit…d’un os de la hanche de Saint Jean Baptiste qu’on y révère pieusement ! Toujours est-il que c’est à partir de l’apport de la Sainte Relique par les Croisés, au XIème siècle, que les titres en langue romane commencèrent à écrire Alenche.

Petite bourgade bien bâtie, à la place centrale embellie d’une fontaine, elle possède une église qui appartint jadis à l’ordre de Saint Benoit. En 1364, les habitants adressèrent une requête au Duc d’Auvergne et au seigneur de Mercoeur pour avoir la permission d’élever un fort au moyen duquel il pussent se défendre en temps de guerre. Cette autorisation leur fut accordée. En 1444, la ville obtint de se clore et possédait maison communale, foire et droits d’octroi. Toutefois, il ne reste aujourd’hui comme vestiges de ces fortifications que la porte de l’ouest, encore debout en partie.

Après avoir été une ville phare aux portes du Cézallier, Allanche a connu un fort déclin au cours de la seconde moitié de ce siècle. Aujourd’hui, la fête de l’estive qui se déroule chaque printemps permet à la commune de faire revivre les souvenirs de son passé glorieux. Le vélorail d’Allanche, quant à lui, constitue la principale attraction touristique de ces dernières années.

 
     
     
 

 
     
 

MURAT

Après avoir cherché refuge dans des abris sous roche, les premiers habitants ont commencé à s’installer au sommet des pitons volcaniques qui offraient plus de sécurité, à la suite d’un radoucissement climatique. Ce n’est qu’au Moyen Age que l’homme descendit à nouveau dans la vallée et se mit sous la protection du château de Murat (au sommet du rocher de Bonnevie) et sous la tutelle religieuse du prieuré des Bénédictins de Bredons. La ville se développa rapidement, débordant sans cesse les murs d’enceinte, dont le premier donna naissance à la fameuse petite phrase qui fait la fierté de ses habitants : « un mur mura Murat et Murat murmura ».

La guerre de Cent Ans fut une période de calamités : anglais et bandes de pillards ravagèrent la région, prirent et rasèrent les forteresses alentours tandis que Murat résista. Au cours d’une guerre intestine de succession pour la Vicomté, qui engendra pillages et tueries, les Bénédictins de Bredons furent brûlés vifs dans « la tour des moines ». La peste vint s’ajouter aux désastres de l’invasion, aux horreurs de la guerre civile.
Le château de Murat fut rasé en 1633 sur l’ordre de Richelieu. Les travaux de démolition durèrent 6 mois et nécessitèrent six quintaux de poudre.
Les révolutions politiques ou économiques, même celle de 1789, n’eurent que des échos étouffés dans notre région.

Le dernier événement tragique de la ville remonte au 24 juin 1944. Après une embuscade et une fussillade menée par les résistants quelques jours plus tôt, les allemands revinrent en force, incendièrent une dizaine de maisons et rassemblèrent tous les hommes du village sur la place de l’Hôtel de Ville. Ce jour-là, 120 muratais furent emmenés en déportation dans les camps nazis.

Aujourd’hui, Murat est une ville sympathique qu’il fait bon découvrir en flânant à travers les ruelles qui s’entrelacent... (Source : Office du Tourisme)

 
 
     
 

 
     
 

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